Après ses visions « en soriennes » douces amères, ses espaces ciblés inscrivant le tableau dans le tableau, Pierre Murillo a trouvé sa juste dérive dans la mise à jour d’une iconographie détournée.
Ses intérieurs du XVII siècle, irrigués par le giclures de l’abstraction, ses vues de Delft échancrées, également constellées de déflagrations chromatiques en cascade, acheminent une vision subversive, du moins corrosive, dont la dérision est une manière d’hommage déguisé.
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